Appropriation des dispositifs techniques dans un bâtiment tertiaire performant : relations exploitants/gestionnaires/usagers

Marta Pappalardo

Citer cet article

Référence électronique

Pappalardo, M. (2024). Appropriation des dispositifs techniques dans un bâtiment tertiaire performant : relations exploitants/gestionnaires/usagers. Zoom recherche. Mis en ligne le 17 avril 2024, Cahiers ESPI2R, consulté le 01 mai 2025. URL : https://www.cahiers-espi2r.fr/1451

Dans le cadre du Cross Disciplinary Programme Eco-SESA, financé par l’Idex Université Grenoble Alpes de 2017 à 20211, cette recherche visait à comprendre et à analyser les interactions entre les acteurs des bâtiments dans la gestion de la performance énergétique. Cet article présente les résultats des enquêtes interdisciplinaires (sociologie, urbanisme, sciences pour l’ingénieur) effectuées entre 2017 et 2018. Ils offrent un aperçu des interdépendances complexes entre consommations énergétiques, usages et gestion d’un bâtiment tertiaire et ambitionnent à constituer, pour les acteurs de la gestion des bâtiments, des pistes de réflexion pour une performance énergétique adaptée aux espaces construits.

Contexte de l’étude

Le terrain analysé est un bâtiment abritant une école d’ingénieurs, situé à Grenoble. Construit et géré selon le modèle du partenariat public-privé (PPP), où l’université est gestionnaire et une entreprise privée fait office d’exploitant, le bâtiment fonctionne selon une négociation constante entre le gestionnaire et l’exploitant. La responsabilité budgétaire ainsi que les délais et les attentes de chaque acteur sont débattus au cours des nombreuses réunions de fonctionnement.

La performance énergétique est atteinte et améliorée au quotidien à travers l’automatisation des réglages techniques (température, éclairage, ventilation), des solutions architecturales mises en place au moment de la conception et un suivi constant des consommations, monitorées par le logiciel de gestion technique du bâtiment (GTB). Ce logiciel permet ainsi de contrôler l’ensemble des réglages de température, d’éclairage, de ventilation, selon une gestion centralisée. Seul l’exploitant a accès aux réglages du logiciel, qui sont négociés au cours d’instances diverses, notamment la revue d’exploitation hebdomadaire et le comité technique (COTEC) mensuel.

Du point de vue des interactions entre les acteurs, le système technique a été conçu, et il est géré au quotidien selon deux principes majeurs :

  • une logique de « transparence technique » (Escoffier, Grandclément & Scolan, 2015) : il doit garantir la performance énergétique du bâtiment et régler les usages des occupants, sans qu’ils s’en aperçoivent ;

  • un principe de « passivation de l’utilisateur » (Escoffier, Grandclément & Scolan, 2015). Autrement dit, la conception et le réglage du système technique visent à limiter au maximum le contrôle des usagers (Danieli, 2016). Il en résulte une automatisation très importante, qui contraint les usages au lieu de se construire autour d’eux (Christen et al., 2015).

Les enquêtes de terrain montrent une réalité plus complexe où le système technique interfère avec les usages et où les occupants ne sont pas passifs ; au contraire, ils s’approprient l’espace de manières multiples.

Méthodologie

Nous avons récolté les principales données du terrain à travers une enquête ethnographique : cette dernière demande une présence répétée et prolongée sur place, sur une période longue (dans ce cas, douze mois), permettant de saisir les dynamiques formelles et informelles dans les espaces et entre les trois catégories d’acteurs identifiées : gestionnaires, exploitants et occupants.

Les gestionnaires jouent un rôle éminemment politique au sein des interactions, et l’analyse de leur action permet de comprendre les discours et les configurations organisationnelles. Ils ont un discours politique autour de l’exemplarité du bâtiment, mais aussi un désir de satisfaire les demandes des occupants.

Les exploitants interviennent par la conception, l’apprentissage et la gestion du système technique centralisé. Ils ont des contraintes et des moteurs essentiellement économiques en tant qu’entreprise du bâtiment ; cependant, l’intérêt qu’ils portent à la question énergétique en tant que valeur s’insère dans une stratégie à long terme de construction de savoir-faire professionnel et d’ouverture de marchés futurs (Garabuau-Moussaoui, 2015).

Les occupants développent des compétences situées et une expertise issue de la pratique et de l’appropriation de l’espace (Roudil et al., 2015). Ces compétences et « savoirs situés » (Haraway, 1988) s’imposent dans les configurations organisationnelles par un émiettement de l’homogénéité décisionnelle dans la gestion de la performance, conduisant à des modifications de réglages et des interventions dans les espaces.

L’enquête ethnographique se structure selon trois types d’actions sur le terrain :

  • observation d’espaces et de pratiques. Les observations dans les espaces permettent de saisir les pratiques en train de se faire et d’analyser la matérialité de l’espace architectural, à travers la prise de notes et la réalisation de croquis ;

  • observation de réunions. L’observation de réunions permet d’analyser le déplacement des espaces aux discours et d’observer comment les pratiques des usagers sont prises en compte dans les processus de prise de décision. Les réunions ont été enregistrées et analysées (placement des personnes, prises de parole) ;

  • entretiens semi-directifs. Les entretiens, mais également les échanges informels, permettent d’accéder aux représentations des acteurs et au contexte des pratiques observées.

L’analyse des interactions dans la gestion de la performance énergétique permet de montrer non seulement les actions et les discours des acteurs pris singulièrement, mais plus encore de mettre à jour les interdépendances, à la fois dans les configurations décisionnelles autour de l’énergie, et dans la pratique de l’espace au quotidien, et l’impact de ces interactions sur l’optimisation de la performance énergétique.

Selon notre hypothèse, l’ancrage dans l’espace pratiqué modifie la configuration organisationnelle initiale de la gestion de la performance énergétique et demande aux acteurs de l’énergie de mobiliser de nouvelles compétences, situées et spatialement ancrées (relationnel, proximité, apprentissage collectif, visibilité, appropriation de l’espace).

Principaux résultats

Les enquêtes de terrain ont fait émerger deux catégories majeures de résultats :

  • les pratiques d’occupation de l’espace, dans leur diversité, s’imposent progressivement en tant que contraintes incontournables dans les processus de prise de décision, indépendamment des scenarii d’exploitation prévus par les décideurs et par le contrat PPP ;

  • la pratique de l’espace partagé conduit d’une part les exploitants à développer des compétences leur permettant d’améliorer et de diversifier leur travail d’exploitation ; de l’autre, elle demande aux gestionnaires de revoir leurs objectifs de performance du bâtiment.

De la maîtrise d’usage aux modes d’habiter : une pratique située du bâtiment

Le système technique centralisé définit un script (Akrich, 2006), à savoir un ensemble de normes qui régit la plupart des usages de l’espace. Les fenêtres verrouillées, les éclairages automatiques, etc., font partie de ces réglages automatiques. Cependant, toutes les pratiques des usagers ne correspondent pas à ce script, et des marges d’autonomie se dessinent.

Les enquêtes de terrain ont fait émerger trois types de pratiques, que nous avons catégorisées selon leur relation au système technique :

  • des pratiques de contrainte, qui se soumettent aux contraintes du système technique et qui respectent pleinement le script. Par exemple, l’impossibilité matérielle d’ouvrir sa fenêtre conduit à repenser son rapport à l’espace (calendrier posé devant la vitre), ou l’extinction des prises à 20 h contraint le personnel à adapter ses horaires de travail en conséquence ;

  • des pratiques d’appropriation, issues de la maîtrise que les usagers ont de leur environnement immédiat, qui les amènent à composer avec les contraintes ou à se les approprier pour se construire des environnements confortables. Par exemple, les occupants travaillent le plus souvent la porte fermée, afin de permettre au bureau de s’autoréguler à une température confortable : ainsi, quand le système technique demande aux occupants d’établir une hiérarchie entre confort personnel et convivialité, cette dernière se retrouve mise en second plan, et des solutions alternatives (échanges dans les couloirs, café en salle de réunion) sont préférées ;

  • des pratiques de subversion, qui vont à l’encontre du script, en forçant le système technique. Ces dernières peuvent être à l’origine de dégradations, mais elles correspondent également à la marge d’agency que l’usager exprime dans son occupation de l’espace. En effet, cette dernière catégorie de pratiques permet de prendre activement une distance du script, de le récuser et d’affirmer ainsi ses propres normes d’usage de l’espace. Ceci est très visible dans les bureaux, où les occupants déploient des pratiques « non négociables » relatives à la construction du « chez-soi », mais aussi dans le sas d’entrée qui a été forcé, car considéré trop lent : cette pratique en particulier a conduit à repenser l’aménagement même de l’espace d’accès au bâtiment.

Figure 1. Pratiques « non négociables » dans les bureaux.

Figure 1. Pratiques « non négociables » dans les bureaux.

© Marta Pappalardo, 2018.

Figure 2. Le SAS d’entrée, forcé car considéré trop lent.

Figure 2. Le SAS d’entrée, forcé car considéré trop lent.

© Marta Pappalardo, 2018.

Les espaces du bâtiment peuvent être analysés à travers ce décalage entre fonctions prévues et usages réels. Tous les espaces ont une fonction précise et définitive : souvent, le décalage est perçu comme un dysfonctionnement. Au contraire, les observations ont montré que les activités qui se construisent dans les interstices entre ces deux aspects dessinent le profil de l’appropriation des occupants, et conduisent à l’émergence d’une « publicité » de l’espace au sens politique (Habermas, 1978). En effet, l’espace partagé est un espace de circulation de savoirs, d’informations, voire de pratiques de détournement des contraintes imposées par le système technique. Par la pratique partagée de l’espace, les occupants imposent leurs besoins jusque dans les processus de prise de décision, auxquelles ils n’ont pas d’accès direct.

Les pratiques de l’espace participent ainsi à la complexification des processus décisionnels, en agissant en dehors de la parole et de la performance discursive et transformant l’exercice d’un pouvoir centralisé en un « forum hybride » différé (Callon, Lascoumes & Barthe, 2001, cités dans Draetta et al., 2015, p. 425). Ainsi, les processus décisionnels et organisationnels sont reconfigurés par l’action des pratiques de l’espace, donnant à la maîtrise d’usage (et plus encore, aux compétences et performances issues de cette dernière) un pouvoir et une légitimité qui relèvent du politique (Hatzfeld, 2011).

Figure 3. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : espaces extérieurs.

Figure 3. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : espaces extérieurs.

Figure 4. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : salles de réunion/convivialité.

Figure 4. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : salles de réunion/convivialité.

© Marta Pappalardo, 2018.

L’apprentissage du système technique et l’émergence de compétences diversifiées, qui ancrent le système technique dans l’espace pratiqué

L’analyse des pratiques de l’espace conduit donc au constat d’une ingérence des occupants dans les processus de prise de décision, qui imposent leurs besoins aux décideurs et demandent, par une action directe ou différée, de repenser l’exploitation du bâtiment initialement conçue dans le PPP.

Les observations du travail des exploitants et des revues d’exploitation permettent d’analyser les capacités d’appropriation du système technique de la part de l’exploitant. Malgré une gestion centralisée, qui rend l’exploitant pratiquement le seul acteur à même de connaître et de maîtriser pleinement le système technique, son appropriation semble se construire dans la difficulté et la négociation.

Si les exploitants arrivent dans le bâtiment avec une approche structurée autour de son « comportement énergétique » (courbes de températures, décibels, débit de ventilation, etc.), ils apprennent « sur le tas », à traiter les demandes diversifiées des occupants, reflétant la fragmentation des espaces et des personnes vivant dans le bâtiment. Ainsi, ils développent des compétences issues de la pratique de l’espace et de l’interaction avec les occupants, qui deviennent indispensables à la gestion du système technique.

Les gestionnaires peuvent, de leur côté, compter sur les compétences « de terrain » de leur propre équipe de maintenance, qui dispose d’une connaissance du bâtiment dans sa matérialité (les espaces, les objets, les personnes). Cette connaissance, bâtie sur la longue durée et sur un rôle d’intermédiation avec les occupants, se révèle une expertise indispensable au profit des gestionnaires dans leurs négociations avec les exploitants.

Cette superposition de compétences, voire rivalité entre gestionnaires et exploitants quant à la relation avec les occupants tend à nier les compétences de terrain développées par les exploitants conduit à des zones d’opacité, où les usagers ne savent plus qui est responsable du traitement de leurs demandes. La démarche « officielle » étant toujours la même (signalement sur la plateforme centralisée, gérée par le service patrimoine, puis transmis par ce dernier à l’exploitant, qui traite le problème en pratique), dans la réalité elle connaît grand nombre de détournements, contournements et bricolages.

Apports

Les questions soulevées par notre travail de terrain conduisent à développer des pistes de réflexion autour d’une optimisation de la flexibilité dans les réglages techniques du bâtiment, dans le sens d’une remise en cause de la rigidité et de la centralisation, ainsi que dans le développement de solutions physiques pour répondre aux besoins de fluidité des usages manifestés par les usagers, tout en gardant le contrôle sur la performance énergétique.

Actuellement, les usages conduisant à une fluidité et à des hybridations des espaces sont interprétés comme des dysfonctionnements et entravent la poursuite des objectifs de performance énergétique : une piste souhaitable serait donc, à partir d’une analyse fine des pratiques « situées », de repenser la performance sur des bases d’une plus grande fluidité des espaces physiques et des fonctions, ainsi que de réfléchir à des outils permettant cette fluidité.

Compte tenu de l’impossibilité d’anticiper les usages sur le long terme, la conception d’espaces modulaires et l’implication des usagers dans les étapes en amont de la conception, intégrant flexibilité et évolutions possibles dans les usages, permettraient de sortir d’une vision contraignante d’usages stables sur le long terme. Dans ce sens, la performance énergétique serait adaptée aux situations réelles et monitorée par des systèmes techniques tout aussi diversifiés et adaptés aux espaces pratiqués.

Afin de favoriser cette adaptation des réglages techniques au terrain, les gestionnaires, porteurs des projets de bâtiments performants, devraient donner aux exploitants les moyens d’une montée en compétences et favoriser leurs interactions avec les occupants. Ainsi, le pilotage de la performance énergétique ne serait plus enfermé dans un outil contractuel figé sur le long terme, mais permettrait le déploiement de compétences situées et d’une action des occupants en dehors de la marge et de l’informel.

Conclusions et pistes de réflexion

En conclusion, l’analyse de l’espace d’un bâtiment tertiaire par les pratiques de ses occupants, en articulation avec les processus de décision des gestionnaires et des exploitants autour de la performance énergétique, permet de questionner le système technique, sa conception et sa gestion, par son ancrage dans un espace pratiqué, autrement dit par l’intervention de l’élément humain dans l’équation de son fonctionnement.

Le bâtiment étudié est face à une contradiction, entre une performance entendue par l’automatisation presque intégrale, incarnée dans une univocité espace-système-fonction ne laissant aucune flexibilité aux usages, et des pratiques réelles, qui augmentent informellement l’affordance des espaces et des objets. Dans ce contexte, les occupants se posent en « inventeurs informels » (Simondon, 2012), car ils agissent sur l’espace (et sur le système technique) de manière informelle, bricolée, mais contribuent tout de même à le modifier.

Pour répondre à ces pratiques d’adaptation, d’appropriation, voire de détournement des contraintes imposées par le bâtiment, conduisant à l’émergence de demandes spécifiques par les occupants, les exploitants apprennent progressivement à gérer un espace situé et développent des compétences « de terrain » les conduisant à diversifier leur approche à l’exploitation.

Le PPP, conçu à partir d’une vision d’usages stables sur la longue durée, à l’épreuve du terrain perd sa capacité d’incitation et conduit à une exploitation difficile, voire conflictuelle, où chaque sujet est négocié et où les acteurs sont constamment renvoyés à leurs responsabilités. L’analyse des scènes de négociations montre ainsi que les gestionnaires sont partagés entre la volonté de maintenir un contrôle strict sur l’activité des exploitants par le recours aux injonctions contractuelles et le souhait de répondre aux demandes des occupants, par une adaptation du contrat aux situations réelles.

1 Ce travail a bénéficié du soutien du CDP Eco-SESA, recevant des financements de l'Agence Nationale de la Recherche, au titre du programme « 

Akrich, M. (2006). La description des objets techniques. Dans M. Akrich, M. Callon, & B. Latour (2006). Sociologie de la traduction : textes fondateurs (p. 159-178). Presses de l’École des Mines.

Christen, G., Hajek, I., Hamman, P., & Wintz, M. (2015). Chapitre 11. Une transition énergétique portée par des acteurs industriels et collectifs : quelles possibilités offertes aux usagers pour s’approprier les enjeux de la transition énergétique ? Dans H.-J. Scarwell, D. Leducq, A. Groux (dir.), Réussir la transition énergétique (p. 155-166). Presses universitaires du Septentrion.

Danieli, A. (2016). Chapitre 9. La « mise en société » du compteur d’électricité communicant Linky. Enseignements sociologiques de la trajectoire d’innovation d’on outil de régulation économique. Dans I. Garabuau-Moussaoui & M. Pierre (dir.), Pratiques sociales et usages de l’énergie (p. 123-136). Lavoisier.

Draetta, L., Delanoe, A., & Licoppe, C. (2015). Grid-Teams pour maîtriser la demande énergétique résidentielle. Une approche socio-technique centrée sur l’usager. Dans M.-C. Zelem, C. Beslay (dir.), Sociologie de l’énergie. Gouvernance et pratiques sociales (p. 421-430). CNRS Éditions.

Escoffier, C., Grandclément, C., & Scolan, P. (2015). Chapitre 1. Transparence technique et coopération des utilisateurs dans deux projets de smart grid. Dans J. Cihuelo, A. Jobert & C. Grandclément (dir.) Énergie et transformations sociales. Enquêtes sur les interfaces énergétiques (p. 17-31). Lavoisier.

Garabuau-Moussaoui, I. (2015). Chapitre 2. Les occupants des bâtiments performants en énergie en sont-ils les usagers ? Dans J. Cihuelo, A. Jobert, C. Grandclément (dir.), Énergie et transformations sociales. Enquêtes sur les interfaces énergétiques (p. 33-49). Lavoisier.

Habermas, J. (1962). L’espace public. Archéologie de la publicité comme dimension constitutive de la société bourgeoise. Payot.

Haraway, D. (1988). Situated Knowledges: The Science Question in Feminism and the Privilege of Partial Perspective. Feminist Studies, 14, 575-599.

Hatzfeld, H. (2011). Les légitimités ordinaires. Au nom de quoi devrions-nous nous taire ? L’Harmattan, Adels.

Roudil, N., Flamand, A., Beillan, V., & Douzou, S. (2015). La consommation d’énergie à l’épreuve des pratiques et savoirs d’usage des habitants. Dans M.-C. Zelem, & C. Beslay (dir.), Sociologie de l’énergie. Gouvernance et pratiques sociales (p. 243-252). CNRS Éditions.

Simondon, G. (1958). Du mode d’existence des objets techniques. Aubier.

1 Ce travail a bénéficié du soutien du CDP Eco-SESA, recevant des financements de l'Agence Nationale de la Recherche, au titre du programme « Investissements d'avenir » portant la référence ANR-15-IDEX-02.

Figure 1. Pratiques « non négociables » dans les bureaux.

Figure 1. Pratiques « non négociables » dans les bureaux.

© Marta Pappalardo, 2018.

Figure 2. Le SAS d’entrée, forcé car considéré trop lent.

Figure 2. Le SAS d’entrée, forcé car considéré trop lent.

© Marta Pappalardo, 2018.

Figure 3. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : espaces extérieurs.

Figure 3. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : espaces extérieurs.

Figure 4. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : salles de réunion/convivialité.

Figure 4. Occupations « informelles » de l’espace par les occupants : salles de réunion/convivialité.

© Marta Pappalardo, 2018.

Marta Pappalardo

Enseignante-chercheuse, département Urbanisme, laboratoire ESPI2R

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